15 octobre 2009
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14:36
Ras le bol des gratte-ciels? Overdose de beton?
Vous avez de la chance!
Un autre week-end de trois jours nous est recemment tombe dessus.
Nous avons fuit les environs de Tokyo et decide de visiter Kyoto!
Pour ce voyage, trois autres francais et une kazakh deciderent de se joindre a nous. Nous fumes donc six a chercher desesperement un hotel disponible en ce week-end exceptionnel.
Exceptionnel. Oui...
Kyoto au mois d'Octobre.
Surement la meilleure destination pour un "break" dans une vie stressee de citadin.
Imaginez une cite d'un million d'habitant dans une plaine abritee de trois cotes par des collines, ouverte sur la mer. Et au milieu coule une riviere. Dans la rue, on murmure. Pas de klaxons. Pas de vendeur criant les merites de son echoppe. Et parfois...
A votre arrivee en matinee, l'air est doux. Le Soleil, au rendez-vous.
A Kyoto, pas de gratte-ciel. Pas de malls geants.
Vous decouvrez une ville a taille humaine, ou se mele l'ancien et le nouveau.
Meme si elle donne l'illusion d'entrer dans un sanctuaire, Kyoto est bien vivante. Les temples, les jardins prives et les masures de bois sombre cotoyent des quartiers plus modernes peuples de bars, de restaurants et de galleries marchandes noires de monde. Ainsi, profiter d'un jardien zen la journee et d'un club en soiree ne sont pas incompatibles. Derriere ses airs de moine austere, Kyoto se revele festive, populaire et au final, degage une incroyable douceur de vivre.
Here you are.
Cote organisation, tout fut fait en moins d'une semaine. Ca tombait bien, on n'avait pas davantage.
Dans le groupe, quelques kamikazes pres de leurs sous deciderent de prendre le bus de nuit pour se rendre sur place. Je lui preferais le shinkansen. Question de gouts.
Nous reussimes a degoter un petit hotel pas cher, tres propre et tres confortable: le tomato hostel. Une bonne adresse pres de la gare principale, qui merite amplement ce petit coup de pub.
La visite commenca le Samedi matin par... un temple.
Pour etre honnete, je n'ai pas retenu leur noms. Kyoto compte plus de deux milles temples ou lieux sacres.
Ce que je retiens, c'est le sentiment de serenite contemplative, qui s'immisce dans votre conscience lorsque vous vous asseyez et appreciez leur calme et la beaute complexe de leurs jardins.
Pour le dire plus prosaiquement, on y piquerait bien un roupillon.
Au final, les journees furent assez chargees. Kyoto ne possede pas un reseau de transport de la qualite de Tokyo et le mieux pour voir du pays reste encore de faire chauffer les semelles. Deux, trois visites par jour, et en soiree restaurant+bar sympas.
Un bon week-end.
Quelques images atypiques.
Damned tourists!
L'ancien...et le nouveau.
Je vous recommande vivement de jeter un oeil a l'album photo portant le nom "Kyoto" si vous desirez davantage de photos du sejour. ;-)
Entree du zen garden. Photos interdites. :-(
Vous avez de la chance!
Un autre week-end de trois jours nous est recemment tombe dessus.
Nous avons fuit les environs de Tokyo et decide de visiter Kyoto!
Pour ce voyage, trois autres francais et une kazakh deciderent de se joindre a nous. Nous fumes donc six a chercher desesperement un hotel disponible en ce week-end exceptionnel.
Exceptionnel. Oui...
Kyoto au mois d'Octobre.
Surement la meilleure destination pour un "break" dans une vie stressee de citadin.
Imaginez une cite d'un million d'habitant dans une plaine abritee de trois cotes par des collines, ouverte sur la mer. Et au milieu coule une riviere. Dans la rue, on murmure. Pas de klaxons. Pas de vendeur criant les merites de son echoppe. Et parfois...
A votre arrivee en matinee, l'air est doux. Le Soleil, au rendez-vous.
A Kyoto, pas de gratte-ciel. Pas de malls geants.
Vous decouvrez une ville a taille humaine, ou se mele l'ancien et le nouveau.
Meme si elle donne l'illusion d'entrer dans un sanctuaire, Kyoto est bien vivante. Les temples, les jardins prives et les masures de bois sombre cotoyent des quartiers plus modernes peuples de bars, de restaurants et de galleries marchandes noires de monde. Ainsi, profiter d'un jardien zen la journee et d'un club en soiree ne sont pas incompatibles. Derriere ses airs de moine austere, Kyoto se revele festive, populaire et au final, degage une incroyable douceur de vivre.
Here you are.
Cote organisation, tout fut fait en moins d'une semaine. Ca tombait bien, on n'avait pas davantage.
Dans le groupe, quelques kamikazes pres de leurs sous deciderent de prendre le bus de nuit pour se rendre sur place. Je lui preferais le shinkansen. Question de gouts.
Nous reussimes a degoter un petit hotel pas cher, tres propre et tres confortable: le tomato hostel. Une bonne adresse pres de la gare principale, qui merite amplement ce petit coup de pub.
La visite commenca le Samedi matin par... un temple.
Pour etre honnete, je n'ai pas retenu leur noms. Kyoto compte plus de deux milles temples ou lieux sacres.
Ce que je retiens, c'est le sentiment de serenite contemplative, qui s'immisce dans votre conscience lorsque vous vous asseyez et appreciez leur calme et la beaute complexe de leurs jardins.
Pour le dire plus prosaiquement, on y piquerait bien un roupillon.
Au final, les journees furent assez chargees. Kyoto ne possede pas un reseau de transport de la qualite de Tokyo et le mieux pour voir du pays reste encore de faire chauffer les semelles. Deux, trois visites par jour, et en soiree restaurant+bar sympas.
Un bon week-end.
Quelques images atypiques.
Damned tourists!
L'ancien...et le nouveau.
Je vous recommande vivement de jeter un oeil a l'album photo portant le nom "Kyoto" si vous desirez davantage de photos du sejour. ;-)
Entree du zen garden. Photos interdites. :-(
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